Hier, le conseil municipal a voté le report de la rédaction des règles régissant la nouvelle loi sur la négociation collective pour les loueurs. Les conducteurs devront donc attendre jusqu'en janvier pour que la ville puisse appliquer la loi.
À l'heure actuelle, des milliers de conducteurs luttent pour joindre les deux bouts. Les conducteurs se battent depuis des années pour faire entendre leur voix.
La ville a la possibilité de rendre justice à ces conducteurs en évaluant les données et en établissant des règles qui reconnaissent le rôle des conducteurs à temps plein.
Voici une mise à jour du Stranger sur le vote d'hier.
Les chauffeurs Uber cherchant à se syndiquer subissent d'autres retards
Aujourd'hui a marqué un nouveau chapitre dans les efforts continus des politiciens locaux pour repousser une décision controversée sur la loi révolutionnaire de Seattle relative à la syndicalisation des chauffeurs Uber. Le conseil municipal de Seattle a voté le report de la date limite pour l'élaboration des règles relatives à l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, y compris la décision controversée concernant les chauffeurs qui seront autorisés à voter sur la formation d'un syndicat.
L'année dernière, le conseil municipal a adopté une loi autorisant les chauffeurs de services basés sur des applications comme Uber et Lyft à se syndiquer, leur promettant ainsi un meilleur contrôle de leurs horaires et de leur rémunération. Mais la loi a confié au département des finances et des services administratifs (FAS) de la ville certaines décisions importantes en matière de réglementation, notamment la question de savoir qui doit être considéré comme un "conducteur qualifié" autorisé à voter sur la syndicalisation.
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